C'est avec un grand plaisir que je me suis mise à la recherche de quelques cistes polynésiennes et notamment celle de l'ile sauvage. J'ai bien fouillé derrière les pierres au pied de la tortue, mais chercher une pellicule photo derrière un amas de pierres, revient à chercher une aiguille dans une fleur ornant une tombe d'un cimetière
. Eh oui, c'est là que le bas blesse, ce site est un site archéologique sacré. Donc c'est pas franchement terrible de s'amuser à retourner toutes les pierres du monument (si on peut l'appeler ainsi). S'il n'y avait qu'une pierre, bon, on peut rester discret, même si éthiquement ça le fait pas, mais là , c'est vraiment s'amuser à démonter le marae 
.Donc je suis rentrée bredouille (ça c'est pas très grave), ne sachant si la ciste a disparu ou non ou si j'ai vraiment pas trouvé l'endroit (mais il n'y avait qu'une tortue, foi d'archéologue qui me l'avait indiqué).
Je déconseille donc aux futurs chercheurs de farfouiller dans les pierres de ce marae, tant pis pour la ciste. Par contre, le site archéologique est pas mal et est une petite escale (histoire de régler le scooter) dans le tour de l'Ile qui est, il faut bien le dire, magnifique
.Bonne promenade
Mumurge